lundi 26 janvier 2015

CRITIQUE DE FRANZ BARDON

Que la vie d’un livre commence par la mort de la parole, que ce pendule de l’hermétisme qu’est Franz Bardon se permette le lavage de cerveau et l’ambivalent « double bind » pour anéantir la flamme de l’âme ou la liberté. Voici ce qui m’encourage à m’engouffrer dans un ésotérisme aride et réductionniste pour témoigner, en journaliste de l’inconscient ou cosmonaute. Faire en même temps du roman intime ou journal, servir pimentées et en salade mes lectures, de quoi recevoir avec pompe le lecteur ou curieux.

Rédacteur de catéchismes pour l’ajustement de son public à lui, Franz Bardon, reformule la notion de péché d’une manière on ne peut plus border-line. Il dicte sentence à propos du péché qui fait apparition dans les questions, de manière à souder l’ensemble de non-sens rigidifiants. Si tu as agi contre la loi de ton monde ou des mondes qui te sont soumis, tu as commis un grave erreur, tu as péché. Ce qui est propre à la paranoïa de Franz Bardon est qu’il n’a utilisé la seconde personne que pour une chose, pour lui annoncer la virtualité inquiétante d’une impitoyable punition.

Pour pouvoir agencer une réfutation je serais obligé de ne pas me limiter à l’analyse de deux ou trois livres, mais bien connaître l’ensemble des ouvrages et être au jus de toute incidence qui puisse intéresser mon lecteur. Sur cette capacité là je n’en suis qu’aux deux ou trois livres et j’hésite à poursuivre mon texte sachant qu’il est incertain que je puisse mieux me documenter pour me servir d’un nom propre sur mon titre, et romancer sans conséquence. Je dirais pour excuser mes limitations que je reste fermement dans la position du critique, du regard critique sur ces catéchismes, et que même le journal et l’incertain, le lendemain, restera conséquent à garder la critique de Franz Bardon comme position de l’ensemble de ma péripétie ici.

Ce qui choque d’emblée en feuilletant tout ce qui concerne Franz Bardon et qui soit parvenu jusqu’à nous, la conversation avec Loulou comprise, puisque déjà j’ai perçu un sujet de critique dans l’introduction qui m’était personnellement faite.

Je rénonce à toute consultation qui demande une manipulation du clavier autre que l’écriture, pas donc de copié-collé. Le chien de Margarita, vieux mais vert, pour ce qui est des chiennes, est très calme parce que très vieux, mais aujourd’hui il est en train de tourner d’une chambre à une autre, et tout-à-l’heure il m’a touché avec sa patte la jambe pour réussir à me faire faire le tour de la maison avec lui.

Bon, j’ai compris, il s’agissait de sortir pisser. Après il a demandé à manger, j’ai compris aussi. Le chien réussit à m’apprendre pas mal de choses.

Toujours en conversation avec le gentil vieux chien, piquant des livres apportés ici à propos, je tombe sur les arcanes mineurs de Aleister Crowley, auteur d’un Tarot à part d’être le premier sataniste réconnu aux USA. Disappointment. Le cinq de coupes, qui les représente vides, en verre fragile en train de se fissurer. La leçon vient à être la même que Bardon, faire le mal, plutôt que quoi que ce soit d’autre. Moi je ferai à mon tour le mal en critiquant, mais pareillement au nom de Satan. Au nom de Lucifer je dirai. Je n’entends plus la télé abrutissante des voisins, j’ai mis à tout volume du psycho garage, puisqu’eux ils foncent sur les interminables chaînes d’humoristes macabres qu’on appelle des fois « image ».

Je suis en revanche enthousiaste du kindle. On en vient de m’offrir un. J’ai ramassé tout ce que j’ai pu comme classique et poétique, à part les ouvrages de Margarita et les miens. Je profite qu’on a arrêté de faire l’amour, cette fois-ci l’enculage le plus beau que j’ai pu officier, parce qu’elle est partie à son boulot. Je profite pour me faire le roi de la maison, à part bien-sûr le vieux chien, qui a la sagesse et la force morale. Je parade et figure dans un projet de réfutation hermétique. Oui, puisque ma critique ne vient pas être un renoncement à l’hermétisme, au nom d’une douteuse raison, mais au contraire une jalousie du juste ton, de l’importance de la parole, vrai nature du Bien et du Mal.

Humoristes macabres et interminables, ces jours sans musique, banlieue profonde, humoristes sans autre humeur que celle de la vésanie. C’est l’Espagne de la droite ultra au pouvoir, tandis que les jeunes et moins jeunes se révoltent, prennent le rues, sont tabassés par une police brutale. Les vieux son frappés au sang, les jeunes femmes choisies pour cible des anti-émeute qui parcourent le centre de Madrid en frappant les passants selon leur critère haineux. Jours de révolution, à présent plusieurs années de révolution, déjà, un processus dans lequel on s’est tous pris par la main pour garder l’espoir. L’Espagne fait une deuxième Transicion, une deuxième recherche de démocratie. Bien-sûr que nous échappons du pays, que nous allons échouer sur les pays les plus disparates du monde, trainant nos balises, moi je peux au moins me narguer d’avoir été des premiers jeunes exilés.

Une nuit d’amour.

Je me réveille très tôt. Les vieux à côté se disputent à l’infini. On peut comprendre que c’est tous les jours. Ils sont immortelles à cause de cela. Nous allons Margarita et moi opérer. Nous allons ouvrir une place par l’allumage. On allume. On s’embrasse, le bruit de nos soupirs de plaisir monte. Monte très haut. Après le chien a voulu sortir. Maintenant ? On est en rut, que veux tu, sortir ? Et bon, va, Margarita va te sortir. Elle est bien sexy dans sa maille de tricot multicolore.

D’habitude avec mes couples c’était : quel médoc tu vas prendre ? le vert émeraude ? bon, du moins tu vas pas prendre l’autre, le couleur chair. De quoi tu ris ?

C’est que le couleur chair et le vert émeraude je ne prends jamais ensemble parce que c’est le même. C’est la même molécule, quoi.

Avec Margarita c’est plutôt de sa part : « le vieux Manuel sait se soigner »

Accueillir le simple dans le couple à tour de rôle, c’est un vieil exercice auquel on s’exerce quand on se fait une idée du bonheur, souvent grâce à des manœuvres plutôt sophistiquées, d’autres fois dans le passée quand la chimie de l’enfance parvenait à faire son chemin. J’ai le souvenir d’enfance d’un couple de vieillards, lui et elle en costume paysanne plutôt noire, qui s’asseyaient au bord de la route, qui était aussi au seuil de leur petite maison sur la pente d’une montagne, et qui se montraient heureux d’être arrivés à leur âge en bonne entente. Le mythe du rare vrai bonheur du couple de pauvres est très fort, et il se trouve comme le seul mythe ou rien ne fait métamorphose dans le texte canonique d’Ovide. Vertumnus et Pomona. Les dieux latins du jardin, absent chez les grecs qui admettaient le plaisir dans leur théologie mais qui se donnaient à ne pas garder d’espoir quant au bonheur.

Toujours pas de silence en vue, les locuteurs vésaniques continuent de marteler de non-sens ultra leur macabres gargarismes, cela frise le frison de l’hallucinatoire. J’envisage donc de me remettre à écrire avec un choix musical conséquent. Il est certain que confiné de la sorte. J’ai pris une douche froide, les cheveux aussi, surtout, et pas de rasage. J’ai mis une chemise à rayures, une veste, le pantalon conséquent et unique et j’ai cherché le tabac dans les rues d’à côté. J’ai vu une affiche qui annonçait un tabac mais pas de local, j’ai tourné un peu et je suis rentré. La voisine passait la serpillère à sa porte quand je rentrais et j’ai dit : enchanté.

C’est une vie où ne compte que l’amour, puisqu’il n’y a pas d’argent, puisque l’argent ça fait tellement peur d’en parler vrai que on grimpe sur les hobby horse. Franz Bardon, en voulant prendre de l’avance sur le « péché » contre le Holly Ghost ou contre les voeux imposés par sa propre prêche, en flic de l’immatériel il est très opportune lecture pour un critique qui se trouve embourbé chez les plus fous d’une banlieue, les petits fascistes, les idiots méchants. L’hermétisme autoritaire est lui aussi idiot et méchant, et surtout fasciste. Sinon je déduis que mes voisins imitent les voix de cacatoès de la télévision. Une vie où ne compte que l’amour, au point de tout détruire, voilà la langue de fourche fasciste empoisonnant le quotidien, la vieillesse comme la jeunesse.

La télévision au service de la droite a tout des têtes de lyncheur, un peu comme dans les exécutions publiques quand elles sont donnés en spectacle. Il est définitif qu’on arrive à voter droite suite à un long période ou toute une vie d’avilissement et misère morale. L’église et ses ogres font ce travail et on sacrifie les enfants fragiles pour la bonne éducation du reste, c’est à dire leur cynisme enraciné dans l’enfance.

Un synthétiseur bradé suffirait pour accompagner ma guitare électrique, mais il faut que ce soit pas moi qui joue la guitare. Il y en a deux raisons, je ne sais pas jouer la guitare et réciter en même temps et même la guitare toute seule je sais pas jouer.

Je n’abandonne pas l’idée de donner des concerts, mais j’écoute Alice Coltrane et je me dis qu’après son piano une guitare électrique est faite pour rester rangée et laisser s’enfumer la chambre à l’écoute oisive. Bref, l’idée s’installe que la peinture d’un jour au suivant restera reportée et que pour la poésie et la musique, pour ainsi dire, le dicton familial « tu n’as pas de succès avec cela » va me casser la gueule chaque fois que j’aille voir mes parents ou même juste les avoir au téléphone. De là il y a de quoi ne plus retourner à Grenade, même si je suis ailleurs dans l’Espagne et non pas en France, et surtout en faire un peu plus du bruitisme, et poursuivre le crescendo de la transgression là où il en soit du désir.

Théorie informelle du bruit

Je ne vois autre manière qu’engager un chapitre sur le son, et le bruit, au vu de sa manifestation autour de tout ce que j’écris. Disons qu’il est aussi question de timbre. Je ne sais pas s’il faut copuler sur le couvercle de la laveuse pour arriver à l’ouvrir. C’est peut-être ça qu’on va m’expliquer, mais je dirai que Margarita et moi, si nous mettons un fond de jazz et que le chien est déjà soulagé de sa digestion, bon, bref, que ça devrait s’ouvrir sans aide extérieur.

Après il reste à reprendre tout le travail de fond sur mes pistes sonores, qui ne consiste qu’à en faire de nouvelles, comme ça vient. La guitare pareil. Je n’en pense plus à rien de spécial, mais je sais que ce sera quelque part un peu spécial, la guitare. Ici au quartier de ***, à ***, je peux entrevoir que la première personne que je trouve sur mon chemin peut mieux jouer et même m’apprendre.

Nous ici, espagnols, nous avons la tremblante assertion « ici c’est la Grèce ». Tellement commence à prendre, comme un froid humide, le message que fait passer la télévision : un paroxysme DE VESANIE qui ne peut vouloir dire que « sauve qui peut la vie ».

On craint non pas tant le sort de Garcia Lorca, ce mauvais tour du destin de faire partie des inexistantes statistiques d’un génocide, en fin de comptes nous ne sommes même pas à Grenade, mais à ***, que le sort de Walter Benjamin le : « you just keep me hanging on » d’attendre la mort et finir par le suicide, ou encore le « road to Cairo » du SDF.

De ce que je peux dire de moi pour qui lise ma « Critique de Franz Bardon » et qui ne soit du tout au fait du reste de ma démarche, il y a peut-être de la pédanterie vis à vis de l’écoute mais je suis en train d’intégrer, que je le veuille ou pas, les catégories bardoniennes. Ce n’est plus la teneur du vieil hermétisme. Je me trouve dans la métamorphose de spiderman en train de parcourir mes dix pouvoirs et mes dix vices sous l’élément air, par exemple.

Mais d’en rester là aurait été du dilettantisme si l’on ne met sous critique déjà ma première méditation conditionnée sur l’élément feu. Il s’agirait du sec, du chaud, oui et bien aussi de la volonté parce que pour Franz Bardon le comble est le pouvoir et qu’il s’agit du cuisant, de l’irritation, puisqu’il catégorise sans états d’ame le sadisme parmi les pouvoirs obscurs du feu.

Ce n’est que l’institution à titre psycho-actif de la parapsychologie dans le plan de travail de l’ordre mondial, une réforme du thomisme pour sa consommation par des cellules sectaires.

On en est à l’heure où l’on juxtapose, oppose et entrepose du Quine sur du Quine, l’heure du bal des réductionnistes. Phagocyte du double Quine, le Quine sous psychotrope et le Quine sous (un autre) psychotrope (neuroleptique). On dit au lecteur : mange de ça. On brutalise le mâle et la femelle, la copule même est rendue infinitude théorique, vous allez voir, c’est différent… Inauguration d’une perversion, la bibliophagie et la momification de l’avenir. La possibilité d’un oubli, d’un désir, est évacuée illico presto.

L’article trouvé sur le net a le même ton élogieux que les quatrièmes de couverture de mes bouquins de lui. Nous ne pouvons pas percer le secret ou le silence sur son possible nazisme. Répertoire de catastrophes, le The Great Arcanum ce n’est plus du néoplatonisme, ni du plotinisme, ce n’est que de l’Aristote. Le grand et furtif vieux chat de gouttière qui sait parfois répondre à notre appel, l’oeuvre de beaucoup de jeunes mâles sur la chatte, le collectif étudiant, le schéma, la notation, Aristote.

L’alternance féconde d’états d’âme et des colères plus au moins paumées, il n’y a qu’un savant dosage de cela qui maintient l’activité amoureuse et l’amplifie. La prise permanente de courant sur le réel, le pulse, le beat. Les principes propres au drame qui régissent ainsi danse et chorégraphie dirigent vers le coït les amants au delà du cycle mensuel. Si le période arrive il doit nous prendre en flagrant labour d’amour. C’est ainsi que la beauté de l’aimée atteint des hauteurs inouïes et que l’on parvient à l’exécution de tableaux qui semblent impossibles.

Margarita me souvient qu’aux quatre-cents euros que je lui doit dans le tout maintenant qu’avec ma carte je lui ai rendu cent viendront s’ajouter les trois ou deux-cents qui coûtera le rouleau de toile et qu’elle va payer.

Ce rouleau est censé être la clé de voûte de mon travail pictural a moyen terme.

Dans le général ce qui me conviendrait pour ce mois de février serait mille euros. C’est ça que je devrais oser demander à quiconque : ma mère, mon ami Auguste, ou bien vendre à Loreta le tableau grand pour trois mille.

Cela me soulage de faire des chiffres. Il y a des chiffres, et des postures, dans le couple. Elle a payé tous les frais du premier mois de location, plus de l’outillage et une bombona de gaz.

Le dieu Shiva s’est endormi, ou du moins il manifeste ses vertus divines par le sommeil de l’ascète aussi-bien que par celui du sensualiste et de l’hyper-sensualiste. La déesse noire danse, menue et peu pesante, sur le corps du dormant. Elle est chevelue, elle tire la langue, elle brandit des têtes coupées, elle se repaît ainsi. Ce sont des visualisations qui se présentent soit par association depuis le multimédia, plus mes interactions artistiques avec elle, soit par les suggestions de son regard. La déesse noire qui vient combler tous mes rêves, couronner de laurier mon réveil, est avec la plus forte intensité de toutes les femmes Margarita, et il est décidé de nous marier non pas pour cela mais bien par de raisons de bien-être administratif.

Nous avons une expression en Espagne pour la misère qui est de dire « celui là n’a même pas un coin pour tomber mort ». Je me suis senti dépossédé depuis l’enfance, et le souci a été pour moi de trouver ce coin où enfin mourir calmement, juste le temps que ça prend. Le plus grand des loisirs est de se réveiller après dans les bras d’une déesse hindoue, irlandaise, malienne, juive, arabe, gitane, moliniste, tremblante Aphrodite aux crotales, sainte et illuminée, hôtesse de cinéma, infirmière de nuit, gifle et caresse, gnostique Sophia aussi elle-même, camerounaise, hémo gothique sans besoin, grande fumée de marihuana, datte, bolchevique, femme du mystère, état de prière, mantra, hindou toujours jusqu’en tout autre planète imaginable. Elle sera toujours du continent indien de chaque planète.

Nous projetons d’acheter de la toile à la colle, mais il faut que l’on puise vérifier que ce n’est pas une toile peinte au vernis le plus récurrent, totalement nulle comme basse pour peindre. Il faut qu’on avise bien. Il faut que je lui dise, qu’on sache qu’il est fort possible que ce soit ça, auquel cas, mieux vaut s’en tenir aux petits problèmes du papier kraft.

Sur ma tombe, en espagnol : como me muera asi sin galerista me van a oir

Les araignées de l’atelier de Paris, velues, ne manquent non plus à mon atelier au quartier de ***, à ***. Il y en a une qui m’a empreint les deux tâches marrones de ses dents sur mon front. Cela m’était aussi arrivé à la Clinique Montevideo, à Saint-Cloud, Région Parisienne. J’avais cru être vampirisé par une araignée et par le personnel. Spider Power. La force combinée des vices et vertus du feu et du poil, de l’excrémentiel, il y a de la paralyse et du travail du tisseur et teinturier, il y a de la patience et de la vitesse de réaction, il y a du maelström politique du non sens. De la mortification secrète du transfiguré. L’araignée qui piqua les plus diaboliques des violonistes et danseurs, les danseuses les plus fatales.

Le chien me ramène à l’écriture de l’ici et maintenant. Margarita aussi s’approche, elle me demande un crayon ou un stylo, juste pour écrire, pas pour dessiner et j’ai un souvenir et regarde dans la poche rouge pour ordinateur et lui en passe un. Au moment de passer le capuchon qui était tombé, je reconnais le stylo, et je montre le petit trou à Margarita : regarde, c’est un oeil. Quelqu’un l’a fait sur mon stylo chez une amie philosophe de 22 ans, sans que je me rende compte, en sortant de chez elle le matin j’ai trouvé comme-ça mon stylo, dans ma poche. Maintenant ce stylo crache son stupre de salive noire et de sperme noir sur le cahier de Margarita, de l’autre côté du mur.

L’oeil qui voit dans l’aveugle est utilisé aussi dans la manipulation subliminale. Les voisins attaquent avec le matraquage télévisuel et je mets de la musique forte, puis plus douce. On a droit à une heure de silence, puis ça reprend. Nous étions au lit. Ce pas que ça nous ait réveillé. Nous ne dormions pas, mais ça nous a foutu la zone. La télé ça fout la zone. Je pense en français, je ne traduis quelque chose qu’on puisse dire, en Espagne il y a pas de mot pour zone. Nos concepts sont suffisamment divers, déjà, et imaginatifs, on rentre pas dans la question du lexique. C’est le réel. Bon la zone, on lui met un coup de pied aux fesses ici. On a repris de notre côté, foutre Dieu. Entre opportuniste et faux-cul il y a quand-même un écart. 

Influence chaude, merde.

Je suis assez agacé à l’idée d’écrire pour disparaître, qui se présente à moi en seule activité obligatoire moralement quand mon temps s’emploie si bien à donner du plaisir et bien être à quelqu’un avec mon corps sentant.

Je me sens plus proche de l’idée de notation, de quelque chose qui soit pour la chanter, de bave et de danse dans l’air, la musique, le souffle, la pulsation du mot ou des racines, toutes syllabiques.

Erotomanie. Exhibition symbolique. Décervelage, tatouage, guitare en bambou, yutub, ce que du chien tient-on.

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