samedi 23 janvier 2021

El principio de Aurelia


Traducción performativa (del tirón, de viva voz, sin corregir) de las 19 primeras páginas de la novela Aurelia de Gerard de Nerval, por Manuel Montero

edición de bolsillo de 1972, comprada de segunda mano en Marruecos
con anotaciones de un anterior propietario ( GIACOMETTI Didier Fev. 76)
de las cuales una se traduce aquí "spacialité universalisante", desechando otras por prosodia

Dibujos y pinturas de Manuel Montero
pantomima de Margarita Bokusu Mina
modelos de las tintas y cuadros : Aneth, Eve Livet, C.***, Patience Tison, Pierre Merejkowsky, Jémia Le-Clézio, Sarra M., Flora, Geneviève... y presencias oníricas

jeudi 7 janvier 2021

LIBERTÉ POUR VALÉRIE BACOT

 non sans penser à la leçon des Cenci d'Artaud, Shelley et Stendhal, qui nous posent la singularité des souffrances qui amènent à la délivrance extrême du parricide, et avec cela le fait que le vrai geste civilisé en est dedans (Freud et sa thèse de la horde primitive qui se met d'accord pour lutter contre le père cannibale et despotique)

outre que face au geste violent singulier d'un coup de revolver il ne sera jamais justifiable la torture implicite aux emprisonnements

il m'est arrivé de vivre du seuil masculin l'ambivalence qui nous rapproche de l'état de viol et le seul geste juste que j'ai appris est d'arrêter toute emprise, faire le mort, renoncer, cela ouvre le possible d'une écoute ou du moins c'est un geste de paix, ainsi devraient faire les juges qui perpétuent les souffrances les amplifiant... juges et policiers sinon ce sont les premiers producteurs de viol, mais aussi au niveau structurel toute figure de père, d'ainé... l'ainé doit mourir, ou sinon nous devons entre tous le tuer, c'est la seule loi naturelle, la seule justice essentielle