dimanche 30 décembre 2018

quel hasard





(prise de vue et conception de l'entretien : Eve Livet )

taking pills, drinking wine, smoking weed and hash
this was the year 2017
but,
for the first time
one by one

*

#klossowskiano, #TeatrodeAzufre, #deepdiapo
#quiétisme, #OpéraGuyon, #Paris, #Granada, #expresionismoretro, #avantgardechaude, #shawarmaness, #néopauvre, #GranArte

vendredi 28 décembre 2018

Bubble Bull's tomahawk

episodio de la bruja en el Persiles y dibujos



arte de prestidigitación, el video de dibujos con audio de fantasía el audio forma parte del proyecto El Persiles, derivado de la puesta en traducción performativa y montage video dibujo a partir de la antología de cuentos " chinos " Donnez de vos nouvelles (2010-11) los dibujos corresponden a periodos cercanos pero muy diversos #expresionismoretro, #deepdiapo, #TeatrodeAzufre

dimanche 23 décembre 2018

trempée de l'argent des nuages





séance de pose et lecture de poèmes
par Eve Livet et Manuel Montero

addicted to pictorial work, his job, but submitted to the crisis, the painter in a rest with his model works graphite on paper
the model is the author of part of the short
she reads from a Japanese cahier de dessin she offered to the painter many years ago the poems he has written along these years of changing times

#néopauvre, #lumpenconscience, #pinturaexpandida

vendredi 21 décembre 2018

jeudi 20 décembre 2018

shame on Trump, Saudi Arabia & Europe

HONTE
LE KURDISTAN LIVRÉ A HASSAD ET À LA TURQUIE D'ERDOGAN
ABANDONNÉ
LES LUTTEURS DE LA LIBERTÉ

devront-ils (elles, aussi, avez vous oublié les peshmergas ? ) succomber - ÇA S'APPELLE GÉNOCIDE - sous l'horreur si convenable aux affaires des banques ?

mardi 18 décembre 2018

Suicide Girls par la panthère rose





(Avant cette vidéo avait un texte qui correspondait avec une autre, je corrige donc) Suicide girls, la panthère rose
Moi je suis sidéré que le docteur Alain n’ait jamais songé à se suicider. Il a dû y penser, avant d’avoir le poste, pour se consoler d’une idée cinématographique. Mais il passe à côté des suicide girls et il prétend "en connaître des cas" dans les entre-deux-guerres. Moi j’ai lu Werther en 1987 en compagnie de deux suicide girls de l’époque, à mon tour. Mais dans le groupe, il fallait que celui qui aille plus loin dans le flirt avec la mort soit notre jeune gourou, Raoul. La question était la dose de pose. Parce qu’une pose peut tuer. La pose masculine. Le gourou était jaloux de moi, même s’il me savait timide et peu remuant à l’époque. Ce sont donc les deux filles qui m’ont initié avec la lecture du Werther. Ma préférée, les yeux cernés et les longs cheveux noir de pêche encadrant le sperme blanc de son visage, était Ana Maria, qui était libre et qui se montrait ostensiblement solitaire. Je lui ai déclaré, dans une phraséologie de haute diplomatie, mon amour au pupitre.
La compétition était dure, le gourou avait 16 ans et sa propre culture. Il méprisait la mauvaise qualité des cours de latin. Evidemment en grec ancien il devait se rendre comme nous tous, les quelques peu d’élèves inscrits, à l’évidence du providentiel enseignant qui savait introduire le sublime dans l’exigence. Un professeur décidé à épater cette troupe de génies que nous étions, et qui nous mettait à un niveau supra-universitaire. Nous dévions mémoriser les lois phonétiques du passage du grec homérique au grec démotique, et ne pas perdre de vue l’esprit d’un Humboldt. Je pense que c’est tout ce qu’il nous à fait travailler et tous les sueurs froids de concentration à faire de fiches précieuses, pour toute une vie, ce qui nous a sauvés, surtout Raoul, du vrai suicide.
La compétition avec Raoul imposait que ce soient les filles qui me fassent lire le premier échelon du romantisme noir et du punk sublime, ce fameux Werther. La pose suicidaire qui m’était proposée. Non pas celle de Raoul, qui ne pouvait être transmise qu’aux filles. Prendre des photos de cadavres de l’ossuaire clandestinement au cimetière, sous LSD. Il dessinait des nonnes, vieilles et furieuses les unes, jeunes et tentantes les portraits de sa fiancée et d’Ana Maria. Le suicide de Raoul, de prime abord, c’est à dire ses tentatives à l’époque, m’est apparu comme un affaire adolescent, ce qu’était de facto le cas, et n’avait pas le degré de souffrance de ma névrose à moi. De prime abord le gourou m’avait apparu comme un potentiel apprenti, ou plutôt un prophète de ma propre érudition et de mon tourment, ainsi que de la précoce multitude d’influences qui occupait mes dessins. Ses dessins étaient des émulations d’une modernité madrilène pour laquelle il était encore trop jeune.
Ces suicide girls étaient muses de métier déjà à 16 ans en 1987. Ana Maria avait lu le Satyricon de Pétrone. Ana Maria, qui avait été exquise dans sa réponse à mon aveu au pupitre, un non complice et à peine un murmure, un sourire dans lequel aujourd’hui je discerne un pouls de coeurs qui s’accélèrent ensemble, elle m’avait reconnu initié parce qu’elle était au courant de mon immense érudition. Toute couverte de noir, comme un omphalos du temple qui était la classe, un nombril qu’on rêve de montrer à un vampire, au diable, ou même, les chaînes brisées, a Dieu. Et Raoul ne la toucha jamais, elle était une vierge consacrée à la drogue et à la littérature.
Quand elle s’est sentie prête pour m’accompagner aux bois de l’Alhambra et à des cycles de cinéma muet (nous avons vu ensemble Intolérance et un film de Stroheim), le lycée était déjà passé. Elle avait appris ses premiers rires, le suicide s’affichait seulement s’il fallait parler sérieux.
Le bois de l’Alhambra sentait le nombril, les fauteuils du cinéma sentaient le nombril, les roses qui nous inspiraient le mépris sentaient le nombril, nos corps étaient jeunes et bons à rien. Je vais un jour la chercher sur facebook. Le docteur Alain sera très content.
(fin)

#glam, #punk, #flamenco

Bhagavati





el pintor Manuel Montero traduce performativamente con guitarra imitación Fender made in India desafinada la obra magna de Narayana Bhatta de Melputtur, en dos videos, un fragmento de los Bhagavati y un breve himno del Krsnalilasuka

#sarasvati, #traducciónperformativa, #tablaocemento

Krishnalilasuka





el pintor Manuel Montero traduce performativamente con guitarra imitación Fender made in India desafinada la obra magna de Narayana Bhatta de Melputtur, en dos videos, un fragmento de los Bhagavati y un breve himno del Krsnalilasuka

#sarasvati, #traducciónperformativa, #tablaocemento

jeudi 13 décembre 2018

Schyzophrènes de L.Ma.Panero traduit par Montero





traduction performative, néopauvre, expressionnisme retro, shawarmaness, tablao cemento, fieltro, pliegue neobarroco, poetry, Lezama Lima, Bukowsky, Leopoldo María Panero, Esquizofrénicas, francophonie

mercredi 12 décembre 2018

La Sorcière de l'Atlas epilogue



les pièces youtube ou prises brutes qui composent ma lecture avec guitare d'une part du poème de Percy Shelley " The Witch of Atlas " ou " La Sorcière de l'Atlas " dont j'ai traduit une quantité de strophes en français rythmé au sein de mon journal intime (et chrestomatie) Sur Dante sont ici présentées par ordre alphabétique et les prises a et b sont à voir ultérieurement, considérons que ça commence en c #quiétisme, #poetry, #freejazz

Hurlante Nova et Manuel Montero Winter Time 2

lundi 10 décembre 2018

Poemas de El Destape





http://www.lulu.com/spotlight/shawarmaness

El Destape, novela que es un teatro de la memoria
sobre los años de la Transición (años setenta y ochenta del siglo XX ) en España pero que transporta esas realidades de la estética que supuso el fin de la censura y al mismo tiempo su persistencia a una lectura del presente y del porvenir

está escrita en dos impulsos uno en 2003 y otro impulso justo antes del 2011

contiene varios relatos y traducciones de poesía, así como diálogos por carta

dimanche 9 décembre 2018

La Sorcière de l'Atlas h

je réécoute le texte même (traduit par moi mais dû à Shelley ) et chaque fois je suis plus touché

en lisant, en traduisant le poème, je découvre quelque chose de fatal et la rime et la musique se plaignent au nom de mon âme perdue