mercredi 23 décembre 2020

El Destape : La cueva de Valente


Imágenes correspondientes al año de escritura con Eve Livet
secuencia del sueño con Estelle H.
El pasaje leído es el que falta de "Los autorretratos en el Infierno", dentro del montage de dibujos "Valparaíso", que es un fragmento de la novela El Destape
la novela está disponible en paperback en :
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samedi 5 septembre 2020

ordalie pour une théorie musicale au 4 septembre





Du monde des ondes l'oreille et la pensée prennent ou saisissent ce qu'elles veulent prendre en tant que son, en tant que couleur ou lumière, ce qu'elles veulent identifier en tant qu'intensité rythmique, harmonie



L'idée qu'une mémoire décomptant la forme du monde en chaque fragment serait à l'origine de la sensation agréable des sons et rendrait musique la recherche d'expression sonore n'est sans grand part de vérité, malgré qu'en partie le son ne serait qu'une chatouille de sel qui inciterait les organes à l'ergotisme, facilitant l'ouvrage de nos parfums internes, l'effet sur l'attention ne va sans produire des exercices de pensée dont l'automatisme est celui de la grâce et la liberté



l'Antiquité avait bien associé sa théorie musicale à son polythéisme empreint de piété naturelle, il en va qu'un renouveau nécessaire à la reconstruction de la biosphère comportera un besoin de relecture des anciennes dévotions, clé anthropomorphe d'une insondable vie du passée, l'innocent n'est pas celui qui ignore, mais bien celui qui compatît et celui qui refuse de s'unir à la violence, l'innocent est le sage et si calme se trouve dans la sagesse, c'est dans l'écoute de l'art et du savoir, dans l'immobilité réceptive que chacun doit adopter, que nous nous reconnaissons les uns les autres comme sages, musiciens, dieux... voilà en quoi l'art serait moral, et l'amour aussi

samedi 11 avril 2020

El Cambio Heidegger

TEATRO DE AZUFRE seance Michel Montero





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mardi, 13 décembre 2011.

A l'adresse de mes amis de ces jours.

Je vous expose à plat la question du théâtre chez moi. Ailleurs j'ai déjà dit que j'étais cette sorte de peintre qui voudrait donner sur d'autres mille et un projets. Très tôt j'ai eu pour modèle dans ce genre l'aventure de Salvador Dali, qui est arrivé à enregistrer une opéra en trois disques, que j'écoutais dans mon adolescence tardive comme le summum de ce que, moi, j'arriverais à être. Une espèce de monarque, un aristocrate par grâce du métier fondateur du peintre. C'est bien pour cela que j'ai voulu faire le plus classique et le plus poussé en même temps, dans le domaine pictural, tirant profit de mon habilité longuement mûrie pour le dessin. Il y a quelque chose du "fondateur de secte", puisque depuis mes premières lectures augustiniennes je me suis très vite identifié au fondateur du manichéisme, qui était peintre selon Michel Tardieu rapporte. Mais je vous écris cette note non pas pour mettre à plat ma mégalomanie, qui est un affaire qui me dépasse, par essence plus ample que ce que je peux en tant que sujet rationnel maîtriser moi-même, qui me rend sujet par égard de celui qui viendra "m'assujettir"...

Il s'agit bien de préciser le déroulement du projet "Teatro de Azufre", qui a porté dans sa sarabande d'autres personnes que moi, non sans que chacun y mette de soi un certain risque. Pour l'instant le projet semble s'être brutalement arrêté, dans un collapsus général. Il avait été ainsi déjà arrivé avec la première tentative de mise en scène en 2000. A l'époque j'avais un autre atelier, non pas à Paris, mais en Espagne, un vieux moulin en pierre grise (une variété locale du marbre, qui est fréquente à Grenade). Nous avons fait plusieurs répétitions dans le froid de cet atelier où nous avons dû faire de la place entre les multiples accessoires dont Lia Guerrero et moi nous servions pour faire de la peinture à l'huile et à la cire, plus de la sculpture parfois. L'enthousiasme qui animait les jeunes acteurs, complètement volontaristes, intéressés à mon texte en partie à cause de ma réputation de freak et d'érudit en même temps, m'a depuis mis sur la piste du désir dans ce qui concerne mon implication dans l'idée du théâtre. Un désir qui appelle à la retombée, à la répétition d'une catastrophe... (...)

Pour conclusion, l'état du projet à présent à mon avis est un collapsus de facto. Je suis enrhumé. Il avait été question de parvenir à être produits, soit par la plate-forme F4, soit par Pierre Merejkowsky, qui était partant aussi pour jouer la voix d'un personnage dans l'enregistrement sonore,

lundi 30 mars 2020

La constelación de Draco y la geomancia del poeta





una característica de la constelación del Dragón (la serpiente en el cuento de San Antonio ) es que, como bien refleja la antiquísima geomacia (la adivinación por combinatoria gráfica de cauris, en Europa, Asia - el I king es una variante - Africa y a través de la santería América Latina ) el dragón se presenta de dos maneras : la cabeza o caput draconis, el inicio, y la cola o cauda draconis, el final, ya que la violencia así se modeliza, pre-matemáticamente, en la escritura del cielo astrológico y chamánico, como algo que al estar presente en todo (la constelación abarca de Norte a Sur ) no puede representarse de una sola vez... Así que esta ambivalencia, polaridad, o duplicidad lo inscribe siempre en el Tiempo
el virus, como las antiguas epidemias, ocupa este campo semántico y eso determina la manera en que nos afecta
esta consideración no pretende substituirse a las demás consideraciones que tienen lugar, sino interpretarla, como forma de operar la lectura de la faceta vivencial del síntoma
estas consideraciones, como todas, se dicen y se olvidan, como la vida nace y fallece, la verdad también desaparece regularmente, el dragón es al par bien y mal, travesía del cielo, y a veces lo vemos nacer, la cabeza se muestra, o irse, la cola indica sus últimos pasos
si no se considera poesía el poema del poeta
es que somos analfabetos
la poesía repite la memoria, la ciencia, como el niño que aprende y comprende por primera vez
también la poesía dice las últimas palabras del que ya no tiene tiempo
entre medias sucede la vida

mardi 4 février 2020

liberté




avec Hurlante Nova dans la bandaison

dessins Manuel
muses, Les brigandes


Les blousons noirs, grands rebelles, étaient un peu aussi comme ça
j'aime les femmes et j'aime la rébellion, ça va faire tomber l'ensemble
il y a pas de fascisme féminin, les femmes ne sont pas identitaires
les femmes c'est la vérité Prends Marine Lepen
je ne la veux pas pour présidente
c'est pour ça qu'au début j'étais content que Macron ait gagné
mais en revanche si on m'offre d'être au lit avec elle
je dis oui sans hésitation, elle est un symbole Alina Reyes avait signalé que Marine Lepen
incarné très bien pour les journalistes l'esprit national
parce qu'elle était puissamment anale mais je crois pas que ce soit le cas de Les Brigandes
elles ont l'air vaginale et je préfère Leur écriture tient sur le plan théologique d'un oecumenisme soit de l'amour révolutionnaire, elle correspond au Cantique des Cantiques, à Bernard de Clairvaux, au punk

Septiembre - Los enemigos (de Jehová)





El 17 de setiembre de 1980, un comando guerrillero del ERP asesinó en las calles de Asunción al ex dictador nicaraguense Anastasio Somoza Debayle. Fue un ataque sorpresivo, que derribó para siempre el mito de que la dictadura stronista era poderosa e inexpugnable. Esta es la crónica de aquel histórico atentado.

***

El lanzacohetes no disparó.

El capitán Santiago (Hugo Alfredo Irurzún) había salido al frente de la vivienda que alquilaban sobre la avenida Generalísimo Franco (actual España) y la calle América, en Asunción, desde donde divisaba perfectamente el automóvil Mercedes Benz color blanco, en el que viajaba el ex dictador nicaragüense Anastasio "Tachito" Somoza Debayle, y que en ese momento se había detenido, luego de que el Jeep Cherokee, conducido por el guerrillero Armando, le cerrara el paso.

Siguiendo el plan original, Santiago había levantado sobre su hombro derecho el lanzacohetes RPG-2, de fabricación china, apuntado hacia el automóvil y oprimido el gatillo, esperando el impacto de la explosión, pero el arma no disparó.

Ramón (Enrique Gorriarán Merlo, el jefe del operativo) vio que los policías que llegaban detrás, en otro auto, se disponían a reaccionar y pensó que todo el plan podía fracasar en los siguientes minutos.

Entonces tomó posición con su fusil de asalto M-19 y vació todo el cargador, que contenía 30 proyectiles, contra el parabrisas delantero, mientras se repetía a sí mismo: "Ojalá que el auto no sea blindado".

No. El auto no era blindado. Los balazos penetraron el parabrisas delantero y parte del fuselaje, alcanzando primero al chofer César Gallardo (nicaragüense) como a quienes iban en los asientos traseros, Somoza y su asesor financiero, Jou Baittiner (estadounidense).

Ramón se acercó a pocos metros del auto para disparar su última ráfaga y luego, al ver que Santiago había recargado el lanzacohetes y estaba listo para disparar, corrió en su dirección y le hizo señas para que proceda.

Esta vez, el lanzacohetes funcionó perfectamente y el potente proyectil dio de lleno en el auto Mercedes Benz, volándolo por los aires.

"La explosión fue impresionante. Pudimos ver el auto totalmente destrozado y la custodia escondida detrás de un murito de la casa de al lado. Ya no tiraban más", recordaría luego el propio Gorriarán Merlo en una entrevista televisiva.

Eran las 9.55 de la mañana del miércoles 17 de setiembre de 1980 y la potente explosión del lanzacohetes no solamente acababa de terminar con la vida de "Tachito" Somoza, sino también acababa de darle un duro golpe a la propia dictadura del general Alfredo Stroessner, abriendo una profunda grieta en su férreo muro de vigilancia sobre una sociedad sometida y derribando para siempre el mito de que el régimen era una fortaleza inexpugnable.

La "hospitalidad" paraguaya

Tras haber sido derrocado por la revolución del Frente Sandinista de Liberación Nacional (FSLN) en julio de 1979, luego de una sucesión de dictaduras militares que había empezado su propio padre, Anastasio Somoza García, a finales de los años 30 del Siglo XX, Tachito Somoza tuvo que peregrinar por Estados Unidos, las Bahamas y Panamá, hasta lograr que un gobierno amigo le conceda asilo político.

Acusado de varios crímenes de lesa humanidad y de haberse enriquecido ilegalmente en el poder, Somoza llegó al Paraguay el 19 de agosto de 1979, acompañado de un grupo de familiares y colaboradores cercanos, incluyendo a su amante, Dinorah Sampson.

El entonces ministro del interior de la dictadura stronista, Sabino Augusto Montanaro, expuso en una conferencia de prensa que Somoza era recibido en el Paraguay en carácter de "residente temporal" y no como exiliado político.

"El Paraguay, siempre fiel a su tradición de hospitalidad, que se ha puesto de manifiesto en distintas épocas, recibirá al general Somoza en calidad de residente temporal", dijo Montanaro.

En un despacho internacional, la agencia EFE recordó que el régimen paraguayo se había hecho por dar refugio a criminales internacionales como el criminal nazi Joseph Mengele o el narcotraficante francés Lucien Darguelles, alias Auguste Joseph Ricord, el jefe de la famosa Conexión Latina.

Somoza residió a su llegada en una mansión alquilada sobre la avenida Mariscal López, casi San Martín, pero pocos meses después se mudó a otra más grande, sobre la avenida Generalísimo Franco, donde vivió hasta el día de su muerte.

Muy pronto, su presencia se hizo habitual en clubes nocturnos y restaurantes lujosos, donde participaba de fiestas y celebraciones, relatándose varios incidentes con algunas personalidades del jet-set asunceno. Se volvió leyenda su enemistad con el empresario Humberto Domínguez Dibb (HDD), yerno del dictador Alfredo Stroessner y director propietario del diario Hoy, presuntamente porque Somoza cortejaba a una mujer que también era amante de Domínguez Dibb.

También empezaron a trascender noticias de que Somoza estaba realizando operaciones comerciales de compras de tierras y otras inversiones. Posteriormente, se pudo comprobar que Somoza adquirió 8.000 hectáreas de tierras destinadas a la reforma agraria en el Chaco.

La "Operación reptil"

El plan para asesinar a Somoza empezó a gestarse en Managua, la capital de Nicaragua, durante los primeros meses de gobierno del Frente Sandinista. Quién lo planteó fue un conocido líder guerrillero argentino, Enrique Haroldo Gorriarán Merlo, "El Pelado", quien en los años 70 fue fundador del Partido Revolucionario de los Trabajadores (PRT) y de su brazo armado, el Ejército Revolucionario del Pueblo (ERP), junto a Mario Roberto Santucho, en su país.

Tras una serie de acciones armadas en la Argentina, Gorriarán y varios de sus compañeros se unió en 1976 a la lucha del sandinismo en Nicaragua, donde tuvo destacada actuación, hasta lograr la caída de Somoza.

Según lo relataría luego el propio Gorriarán, el plan para matar a Somoza surgió a finales de 1979, en el restaurante argentino Los Gauchos, en Managua, cuando con sus compañeros estaban compartiendo un asado con cervezas.

—Da rabia pensar que ese criminal está gozando de sus millones en Paraguay— dijo Armando.

—¡Ah no!, sería una vergüenza histórica permitir que ese asesino se muera tranquilamente en su cama de tanto beber guaro— agregó otro de los guerrilleros, según contó Gorriarán a los escritores Claribel Alegría y D.J. Flakoll.

Así empezó a gestarse la llamada "Operación reptil", que si bien fue una iniciativa del grupo comando del ERP, contó con la autorización y la financiación de autoridades del gobierno sandinista, especialmente del entonces ministro del Interior, comandante Tomás Borge.

"Entrar al Paraguay sin levantar sospechas, hacer el trabajo sin que te agarren y salir sin dejar huella", era el objetivo del grupo, que según Gorriarán fue integrado por "cerca de diez" hombres y mujeres. Solo se ha podido conocer y confirmar la identidad concreta de Gorriarán, Irurzún, Roberto Sánchez y Claudia Lareu.

Tras un entrenamiento en Colombia, un primer grupo de tres personas ingresaron al Paraguay desde Brasil en marzo de 1980 y perdieron varias semanas reconociendo el terreno y tratando de detectar el lugar donde vivía Somoza.

El dato preciso lo pudieron obtener de un modo temerario, cuando una de las integrantes del grupo abordó un taxi y le pidió al taxista que la lleve hasta "una peluquería que queda a dos cuadras de donde vive el general Somoza". Como el taxista tampoco lo sabía, no se le ocurre mejor recurso que bajarse a preguntar en una comisaría, y así la propia policía les indica la dirección, sobre la avenida Generalísimo Franco.

Para poder vigilar la casa sin despertar sopechas, el grupo alquiló un kiosko de venta de revistas y diarios en las esquinas de la actual avenida España y Santísimo Sacramento. Desde allí, haciéndose pasar como kioskero, uno de los guerrilleros podía observar las salidas y entradas a la mansión de Somoza y tratar de establecer su rutina.

"Lo simpático es que varios de los clientes que acudían a nuestro kiosko a comprar revistas pornográficas eran los propios policías de Stroessner", apuntaría luego Gorriarán Merlo.

Alquilaron varias casas de seguridad en barrios populares de Asunción. Una de ellas estaba en el barrio San Vicente, donde guardaban las armas que lograron ingresar de contrabando desde Argentina, cruzándolas en canoa por el río Paraguay, con ayuda de unos contrabandistas, a quienes hicieron creer que eran simples mercaderías: el lanzacohetes RPG-2, fusiles M16, ametralladoras Ingram y pistolas automáticas.

Otra iniciativa fue alquilar una casa sobre la avenida Franco (actual España), por donde habitualmente pasaban Somoza y sus guardaespaldas, en dirección al centro de la ciudad.

Tras comprobar que había una vivienda ofrecida en alquiler sobre Franco y América, los guerrilleros se presentaron ante el propietario (el ingeniero civil Luis Alberto Montero) asegurando que eran representantes del cantante español Julio Iglesias, quien planeaba pasar un tiempo en Paraguay para preparar una película y una serie de conciertos, pero que el mismo deseaba permanecer en el anonimato.

La estrategia funcionó perfectamente.

klossowskiana (rush Eve Livet)

Les brigandes - foutez le camp

Les brigandes - foutez le camp

mercredi 8 janvier 2020

Anel años de miel

discours pacifiste par Hurlante Nova





me radicalizo por irritación con las actitudes soñadoras de lujo imaginario de Eve


en el fondo es penosamente infantil de mi parte


no es culpa de nadie


me he venido al taller


estoy pasando a yutub zinema el discurso que se marcó Laurent en plan kamikaze arreglando el mundo en media hora y poniendo a todos en su sitio


un acontecimiento


y él desde luego un fenómeno


el Espíritu Santo como Catherine, como Houria Bouteldja, la propia Laure con una retórica de los hechos, como abogaba la CNT de Durruti


y yo un hombre orquesta

(están genocidando poblaciones en América Latina, en Africa, en Medio Oriente... en Europa misma están operando el saqueo... y dicen que sus leyes prohíben los discursos de odio...)

dimanche 5 janvier 2020

l'art comme acte de résistance



entretien par Eve Livet avec le peintre Manuel Montero à propos d'un dessin et de la définition de l'Art

le dessin est publié dans la brochure "quel hasard" que vous pouvez acheter sur le lien http://www.lulu.com/shop/manuel-montero/quel-hasard/paperback/product-23808126.html