mercredi 27 février 2019

FOTONOVELA - collages

Ayatolah con papiroflexia rupestre





Igitur, igitur mevs, voleba dicerem te quomodo artifex circensis maniquaeus illo tempore deleterebat possibilitas pictvrae omnimoda rampantis

totemismvs cinematiquus sicvt pictvra arestitotelicam moellam animalorum substinet

novus nealismvs planvs sequaentia unam est de duam, sicvt est quis altera res semper omnimoda omni tempore mortis pulsionem sinem qualitatem operam, non salatam, neutraque atque nigrum sive opus nigrum sicvt album, monotonam repetitionem non est novum realismvs magis est antiquum (id est simili modo bonum)

cauda geomantica non sine caput uius

sicut puer sicut draconem sicut fortuna puer puella sicut colorem stantiam equilibrivm dicentem ante mare et quoelum et quod tegit omnia terram unvs erat toto naturae vultus in orbe

nostradamvs cantabat eum non est confictura, est pictvra

sorbonna sorbet mielem sorbet acquam, sorbet salsam

non videamur vinum nullomodo isto tempore

buona sera

Sweet Honey of the Land

LE DIVIN NARCISSE Tableau I r scène 3





work in progress about Mexican poet Sister Juana Inés de la Cruz that is the more genial barroco period writer in America

same time i'm translating once from Spanish to French with guitar sound and drawing allegories with pencil, marker and watercolor

#LezamaLima, #ezrapawn, #deepdiapo, #expresionismoretro, #nu, #dessin, #bizarre, #exotique, #précolombienmyth, #Berniniste, #klossowskiano, #barroco, #poetry, #shawarmaness

pieza nueva
a partir de un auto sacramental mejicano
obra de autor femenino, Sor Juana Inés de la Cruz
conocida por sus sonetos feministas (s.XVII )
con traducción performativa (guitarra Talmus, imitación Fender, ampli Fender)

el contenido (que voy traduciendo por etapas e ilustrando a medida que traduzco)
es altamente significativo de lo que más tarde sería la noción clave
de MESTIZAJE en los discursos revolucionarios de América Latina
y aquí se presenta en forma ecuménica

mardi 19 février 2019

TENGO DESGANA en un tablao cemento




performance montada en secuencias video por Manuel Montero, con guitarra TALMUS made in India y ampli Fender, y una púa de cuerno, leyendo de su libro Sur Dante, crestomatía y ensayo íntimo con traducciones (lo de las flautas al principio no hay forma de explicarlo) * Como incipit se presenta de nuevo el último óleo con Flora (que está secando), el Buda de Patience Tison, dos fotos con Eve Livet, una de ellas en compañía del pintor Toshima en su taller del Albaicín, un collage realizado y regalado por Marie-Agnès Michel, y lomos de libros diversos que he ido reuniendo y curioseando según un programa de literatura comparada, propio a los pintores

vendredi 15 février 2019

Messaline et Pasiphae Swinburne M Montero





traduction performative d'après le poème de Swinburne avec 2 dessins par Manuel Montero


#Swinburne, #traductionperformative, #nu, #dessin, #crayoncouleur

La Carpinese (Tarentelle de la région des Pouilles)







Voici un texte dont j'ignore l'auteur, puisque ma conviction que le nom affiché sur internet cache une personne différente mais que je crois reconnaître par l'extraordinaire bon-portant des idées. Il va sans dire que j'applaudis et me lève pour ponctuer mon copié / collé par un "Bravissimo" du fond de moi-même. Mais je me réserve un commentaire ne soit que pour m'approcher, enthousiaste, de la scène et faire tomber mon oeillet rouge ou ma rose (toutes les fleurs) 





La société du spectacle, au sens de Debord, c'est, à l’inverse, l’exploitation mercantile de cette séparation, de cette injouissance : c’est bien sûr l’exploitation de la force de travail — ce qui est classique de tout système de domination depuis la disparition des chasseurs-cueilleurs — mais c’est surtout l’exploitation de la mine de l’or noir des souffrances refoulées, inconscientes, et le gavage consumériste de cette nouvelle variété d’oies (ce que j’ai appelé l’injouissant moderne) qui ne voient pas qu’elles ne sont si bien gavées que pour étouffer chez elles toute possibilité de rencontrer la vie —, et, aussi, pour satisfaire les pulsions brutales des morts-vivants qui les élèvent, pulsions de destruction qui coulent de la même source : l’injouissance poétique, amoureuse, mystique.

La Folie, la séparation, la névrose, l’injouissance : ce sont différentes façons de nommer la même chose, — ou presque.

Notre tentative poético-philosophique de proposer à nos contemporains d'abandonner une sexualité masturbatoire — non pas sentimentale mais revancharde (Sartre écrivant : je ne suis pas un coïteur, je suis un masturbateur) — pour une génitalité transcendantale, extatique, mystique, poétique et sentimentale, a échoué : les esprits forts et les autres, s'ils en ont entendu parler, il y a dix ou quinze ans, se sont plutôt laissé pousser la barbe, façon hipster (et pourquoi pas) : comme quoi, esprits forts ou pas, c'est toujours la puissance coercitive du troupeau qui domine. On peut dire aussi qu'elle est apparue sur la scène du monde au plus mauvais moment : au début de ce siècle, alors que s'offrait à la multitude (avec le développement d'Internet) l'opportunité d’explorer, comme jamais peut-être auparavant dans l'Histoire, les pulsions destructrices et auto-destructrices de la pré-génitalité. Enfin, plus généralement, cet échec est dû au simple fait que, dans ce domaine, on ne choisit pas : l'existence (passée et présente) détermine l'inconscient — et la « conscience », aussi.

Donc, toutes nos œuvres poétiques, littéraires, philosophiques sensualistes précédentes sont à réserver aux happy few — à celles et ceux qui connaissent déjà ce dont elles parlent. 




Je pense que cette étude des causes de la gynophobie — si visible dans la sexualité pornographisée de nos contemporains où se côtoient des femmes et des hommes qui paraissent ne pas avoir la moindre idée de l’amour, soit qu’ils demeurent à ce degré zéro, qu’illustrent les humoristes, de la rencontre et de l’abandon à la puissance extatique de la vie jouissant, soit qu’ils raffinent cette impuissance orgastique en la scénarisant, en distribuant les rôles et en feignant d’aimer ce qu’ils subissent, leur névrose (et je ne minimise pas les fièvres du masochisme ou du sadisme en actes) —, je pense que cette étude des causes de la gynophobie, disais-je, ramènera nécessairement aux problèmes que traitent nos recherches sur l'amour et le merveilleux : c’est-à-dire à l’origine, dans l’histoire tant individuelle que collective, des pulsions destructrices et auto-destructrices chez les femmes et chez les hommes, et, de là, à leur dépassement dans l'amour contemplatif — galant.

Pour le moment, une génération ou deux, sacrifiées et enfumées par le Spectacle depuis un demi siècle, passent, avec leurs illusions, et s'aperçoivent peut-être qu'on s'est joué d'elles : elles ont pris pour modèle ou pour référence des êtres sortis de la pop-culture (romans, bandes dessinées, cinéma, télévision, internet etc.), en oubliant une culture plus raffinée, qu'elles ne connaissent pas et qui ne les a pas influencées. D’où l’importance des recherches savantes, comme celles que mène Madame Ganofsky  — qui nous a fait, par parenthèse, une réponse charmante —, qui sauvent de l’oubli des formes de relations entre les femmes et les hommes, qui sont déjà inimaginables pour les jeunes générations, — avec ou sans gilet jaune.

…fin de citation



Notre texte résume un moment, il rend un bon diagnostique, mais il est nécéssaire de comprendre que la résolution demande la contemplation, et que dans une âge du lynchage, de l'hygiène, on interrompt mécaniquement la masturbation pour s'attaquer à la contemplation et on empêche la contemplation (proprement coïtale ) par l'interruption qui vient opérer ce qui reste en nous mêmes du ressort hygiéniste, restons là

mercredi 13 février 2019

Trastrás à la manière d Nostradamvs





#poetry, #tablaocemento, #néopauvre

c'est épais comme poème pour la durée d'une concentration type sur internet, les opéras aussi étaient longues, le cinéma soviétique, et la récitation mélancolique

nonobstant, les années, le métier, la présence expérimentale de la guitare et la précocité du poème d'origine sont des pépites qui pourraient faire valoir mon travail comme berceuse intellectuelle

en rélation aux gnomes et chauve-souris de la cathédrale fatale (lieu de conclave dominical de l'extrême-droite) je viens d'être contacté par un monsieur qui d'un côté se dit mon fan mais qui veux savoir l'avancement de la dénonciation interposée abusivement contre un de mes textes (un texte où je proteste contre la montée de l'extrême-droite en Andalousie et la présence de professeurs du parti ultra VOX et de l'Opus Dei, son créateur, entre les professeurs de mon ancienne fac de Beaux Arts en Espagne car à travers mon père je connais cette mafia et pour avoir subi leurs persécutions depuis les années 90 - plusieurs attentats "au nom de la Vierge Marie" que j'aurais offensée dans une de mes anciennes BD et qui en fait je connais personnellement et ella avait aimé, contre le siège du journal satyrique, silicone dans la serrure, des mecs qui descendent d'une moto et m'arrosent de spray anti-vol - et je suis censé être mené devant juge à la province de Jaen pour injures, ce que motive la salivation masculine) et qui en plus me gronde sirupeusement

Soliman 2 Contrecube Montero F mmxix






(Note SI QUELQU'UN CONNAÎT LA MANIÈRE DE BLOQUER LE SOUS-TITRAGE AUTHOMATIQUE CE SERAIT BON CAR LA PLUPART DES FOIS IL FAUSSE LES VRAIES PAROLES)
ça transmet ce que je voulais transmettre
Soliman le Magnifique fut un sultan poète d'Istambul
la piste sonore est une traduction performative de sa poésie réalisée en 2015 ou 2016 avec Contrecube à la musique et prise de son et la présence de l'écrivaine et pédagogue (pseudo : Margarita Bokusu Mina) qui réalisa un suivi vidéo et qui inspira certains détours freestyle de ma traduction
les tableaux viennent marquer la distance par rapport à la musique, tout en abondant dans le genre des poèmes mais avec d'autres protocoles
ceux qui connaissent ma peinture savent que le thème des "liseuses" ou femmes en lisant pendant la pose m'a été formulé par le rapport à ma modèle et compagne Eve Livet (même s'ils existent des dessins avec Lía, la maman de mon fils et couple précédent), mais cette année j'aborde le sujet autrement ici, me concentrant sur l'aboutissement des impulsions ou tropismes de mémoire qui ont constitué mon rapport à la Peinture elle-même
ceux qui aiment l'art ou simplement les autres savent que l'état du carrousel de la vie nous rend prisonniers et otages taxés par la haine, et compte tenue que l'essentiel de l'art sont les femmes, ou les abeilles, mais pas les porno stars de la guerre, on attend la fin de cette initiative de l'inconscient machinal collectif
quand je cherche à comprendre je vois tout à l'envers, je ne peux m'exprimer qu'en peintre (et poète en évolution) et mes textes protestataires sont des exercices de style sur le canular et sur la psychanalyse
quant pour mes exercices de guitare le principe est une sorte de berceuse bruitiste de fan de Jimy Hendrix mais sourd pour les notes, et cette fois vous avez la chance que la musique soit dans les mains de Contrecube
aux années 90, juste pendant la grossesse j'avais écrit dans un dessin "il faut de la lenteur (pour la peinture, ou l'oeuvre)". M'étant spécialisé à la fac de Beaux Arts pour initiative propre et véritable conviction sur l'oeuvre et philosophique et de grands dessins et de philologue de Pierre Klossowski, pour rendre moins aride notre situation à Grenade Lía et moi fûmes voir à Madrid la romancière Carmen Laforet et notre ami son fils Agustín, écrivain, et je fus ravi que cela coïncide avec une grande rétrospective Balthus au Reina Sofía, donc, quand Lía pût apprécier la qualité des tableaux du frère de Pierre Klossowski elle accepta d'ajouter le prénom Baltasar au prénom commun d'un éventuel fils au prénom masculin
donc, nous étions dans l'optique de Klossowski pour la lenteur en peinture, mais conscients bien-sûr que pour l'oeuvre lente nous n'avions aucune certitude car notre situation était précaire, mais là je lui avais proposé la formule tranchante de Frank Stella, même si nous voulions une figuration (une figuration "autre", mais rester peintres dans l'art et le savoir ) formule qui parle de l'importance d'être apte à peindre comme une question de vitesse. Je ne ressentais aucune prévention ni répugnance envers l'abstraction et la formule me semblait ramener le besoin de lenteur à un certain pragmatisme, j'ai souvent du prendre des décisions techniques très vite car mon travail avec le portrait était soumis à contrainte
même si mes amis et amies parisiens ont été généreux de leur temps cela ne pouvait être comme à Grenade ou vraiment on dormait tous ensemble et l'atelier était lieu de vraie intimité subtile de tous et de réflexion sans polémique ni meneurs de jeu
bouffer du camouflage quoi
soupe
et Beauté
et que ce soit juste ça, foutre dieu
bonne chance

mon ami musicien et critique d'art Arthur-Louis Cingualte m'a fait un éloge en égard des images
il a évoqué une rêverie orientaliste, très courageux
jusqu'à date actuelle (il a dit "on dirait une princesse Nubie" évidement comme de dire Que c'est beau ) l'orientalisme je le déconstruisait selon des principes d'esthétique post-colonial acquis dans la clandestinité artistique qui caractérisa ma période décisive d'entrée dans l'interaction culturelle juste avant les années 90 dans le passage du comic ou bande dessinée au métier absolu d'artiste peintre et homme de lettres comme état naturel et surtout en dialogue, comme je suis en train d'essayer de mettre à plat, avec mes collègues du Tiers Monde qui souvent c'était mes vrais seuls amis (les peintres qui ont marqué ma prise de partie pour la figure sont, à part les peintres de l'Ecole de Paris, Chéri Samba ou aussi Philip Guston qui dénonça figuralement le Ku Klux Klan et l'apartheid aux EEUU, des peintres qui sont pas dupes donc des asservissements liés à l'orientalisme, donc cela tomba bien quand je connus une sage étudiante S.M. qui me proposa d'appeler Désorientalisme mes projets de traduction et analyse des poussées de liberté artistique au sein de l'Islam mais j'avais déjà en 2002 inventé le mot shawarmaness (pour titre d'un autoportrait mais aussi en tant que concept politique et esthétique)

donc, malgré que autour de moi il a la bonne volonté d'aider, comprenez qu'en acceptant l'orientalisme je risque de muter encore plus loin dans la profondeur de ma réflexion, donc, déjà le mur est occupé et le temps que l'huile de qualité met pour sécher (avec des lapses au radiateur normal) en hiver me fait prévoir un décrochage pour mai et l'espoir de mieux comprendre ce que j'appelle le "tropisme" et pour cela j'espère que mon honnête ami critque d'art ne se sentira pris à partie ma réponse pour ses mots d'encouragement (réponse à la Torquato Tasso qui se fâchait avec son mécènes, qui crachait dans la soupe, quoi, mais qui reste un mythe de la poésie italienne)

les peintres orientalistes c'était pas ma tase de thé, mais je camoufle un peu le permanent scandale de persister dans le nu
tu as vu juste
même si je n'ai été conscient du tropisme que vers la fin, le tropisme d'un stylème de décroissance

mardi 5 février 2019

tableau à l'huile, dessin mine de plomb et traduction poème de T'ong Cho





mettons que c'est ma cousine cadette, ça serait sulfureux pour vous qui avancez et faites avancer par vos projections de frustrés

le poème est traduit en 2011 de vive voix d'après l'anthologie espagnole de Marcela de Juan et l'auteur est T'ong Cho (je crois avoir compris qu'il s'agit d'une poétesse )

#ezrapawn, #expresionismoretro, #deepdiapo

lundi 4 février 2019

nos 2 dessins seront dans les guides





présentation de travail d'atelier

dates diverses

en cours et en cure, la vie c'est pareil

mais l'atelier dit NO PASARAN et bonsoir


#expresionismoretro, #pinturaexpandida, #avantgardechaude

dimanche 3 février 2019

trad d Herrera & dessins MM




#expresionismoretro, #FernandodeHerrera, #traductionperformative, #deepdiapo, #ezrapawn, #rotring, #néopauvre, #Paris, #freejazzexperimental


Un peazo de Franz Zappa andaluz con gazapos en la introducción manejando los mandos de un programa y una guitarra que no entiende y traduciendo a vuelo de media gafa sin prelectura la compleja poesía en sonetos del renacentista preferido de los más finos hispanistas Fernando de Herrera


los dibujos son nostalgias bellas de los primeros años con Eve en París

samedi 2 février 2019

sylve qui en plusieurs souffles





sylve qui en plusieurs souffles poétiques (les premiers vers sont pour Eve Livet, après suivent les souffles en français et anglais) fait chanson aigre-douce sur le fond de mémoire (les dessins sont d'avant 1997) intime consacré à la douleur des exilés de l'Amérique Latine pour cause de l'intervention

je sais pas comment vous dire, c'est comme si j'avais une bijouterie, j'avais laissé la porte ouverte et j'étais parti


#deepdiapo, #ezrapawn, #lumpenconscience, #shawarmaness, #expresionismoretro, #experimental, #dessin, #amourrévolutionnaire