cher A.L. C. qui me pardonne la vie mais efface mes commentaires et me vide aussi, comme le reste de franco-français, comme un malpropre (c'est autorisé ) sans jamais une explication
cher A.L. C. qui considère culture la grammaire TV car elle a expolié et nettoyé les produits pour faire sentir confortables dans les titilleries de l'ironie ses amis (aussi de produits consommables mais chers, pas gratuits comme moi - disons au passage que j'ai pris le devant sur la destruction pure et dure et je donne carrément )
cher A.L. C. qui bientôt sera au même niveau que moi
à quoi bon avoir en permanence des notifications de ce que tu regardes à la télé
comme messages de fumée entre fils de français pour m'exclure du dialogue
c'est vous les artistes ? aussi des flics, non ? du moins service de l'ordre et surveillants
voua ne faites que ça, quel oeuvre ? quatre petites crotttes sur la télé et moi je vais manger ça ?
dans mon quartier gitan les enfants lisaient des vrais livres, de vraies bandes dessinnées
Kafka, Borges, Cortázar, Thomas Mann... je sais pas, dès la primaire, avant passer au lycée
c'étaient des enfants du quartier gitan pour lesquels les livres avaient du sens
je te rassure, dans le centre ville et dans les familles des flics les enfants étaient comme toi
ils regardaient déjà la TV et actuellement il font des descentes dans notre quartier armés
car nous sommes des fumeurs et nous ne sommes pas blancs
si on évoque l'actuel holocauste gitan, latino et musulman en Europe devant un(e) petit(e) blanc(he) en France on est violemment refoulé car cette personne a toujours pour réaction de dire que parler du racisme français c'est "du racisme à l'envers" et on est vidé comme un malpropre (bloqué sans explications, traité d'énergumène...) pendant que le sang continue de couler
si on évoque l'actuel holocauste gitan, latino et musulman en Europe devant un(e) petit(e) blanc(he) en France on est violemment refoulé car cette personne a toujours pour réaction de dire que parler du racisme français c'est "du racisme à l'envers" et on est vidé comme un malpropre (bloqué sans explications, traité d'énergumène...) pendant que le sang continue de couler
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