vendredi 12 avril 2019

comme une sorcière éteint sa bougie





traduction performative d'un poème de Leopoldo María Panero, poète maudit espagnol des 60-90 qui connut la prison sous Franco et l'asile psychiatrique de longs intermèdes dans sa vie on ne peut pas dire autre que erratique et qui était de famille d'intellectuels ce qui rend sa poésie le carrefour de l'érudition de l'élite et de l'éclosion de révolte des laissés pour compte.

Il était très lu de son vivant entre les jeunes et les anarchistes mais sa condition de révolté le tenait en dehors de tous le prix littéraires et autres compositions qui engraissaient à mon époque les poches des auteurs

sur les peintures ? ce sont mes derniers tableaux à l'huile (avec d'autres éléments d'image qui ne sont pas de moi, comme le petit huile - homme nu au phallus rouge * - et les découpes avec statues grecques)

* l'artiste avait dit préférer rester anonyme sur mes publications, je le remercie en tout cas pour la petite peinture

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